La cigarette électronique, c’est quoi ?

La cigarette électronique est apparue vers 2007 aux US et en Europe, et offre une alternative au tabac pour les fumeurs dépendants à la nicotine. La plupart des ecigs ressemblaient au départ à de vraies cigarettes, ce qui est moins vrai aujourd’hui. Dans tous les cas, elles ne contiennent pas de tabac.
Un montage électrique permet de chauffer et de vaporiser un mélange de propylène glycol et de glycérine végétale, auquel sont ajouté des arômes et éventuellement un dosage de nicotine.

Les fabricants et beaucoup de consommateurs satisfaits trouvent beaucoup d’avantages à remplacer la cigarette tabac par la cigarette électronique.
Les agences sanitaires et les professionnels de santé ne sont pas tous d’accord sur d’éventuels effets secondaires. L’inhalation de vapeur nicotinée et de glycol n’est pas complètement étudiée à long terme. Certains vont même jusqu’à demander l’interdiction de la cigarette électronique jusqu’à preuve de son innocuité.
La plupart des professionnels de santé raisonnables admettent qu’il s’agit dans tous les cas d’un moindre mal par rapport à la cigarette de tabac.

Puisqu’elles ne contiennent pas de tabac, les cigarettes électroniques ne sont pas soumises aux règles et aux droits qui pèsent sur le tabac. En France, seule la présence de nicotine interdit la vente aux mineurs. Mais le coté novateur et technologique de la cigarette électronique fait craindre à certains qu’elle ne soit un attrait pour les jeunes et risque de développer l’addiction nicotinique. Et, alors que les fabricants vantent la possibilité de pouvoir « fumer » partout, les agences de régulation et les sociétés commerciales qui accueillent du public (cafés, avions, etc.) instaurent parfois certaines restrictions d’usage.

Les amateurs de cigarette électronique soutiennent qu’ils se sentent mieux en l’utilisant que quand ils étaient fumeurs de tabac, et que la cigarette électronique rechargeable revient sensiblement moins cher. Si les allégations de « sevrage tabagique » sont maintenant déconseillées en France, les utilisateurs n’en sont pas moins convaincus.

1. Pas de fumée (de combustion), mais de la vapeur
Même quand elles ressemblent à de « vraies » cigarettes, les électroniques ne brûlent pas le liquide, mais le vaporisent en le chauffant.
Sans briquet ni allumette, c’est la batterie qui fournit le courant à l’atomiseur imbibé de liquide, et qui produit de la vapeur. La vapeur nicotinée est inhalée comme la fumée de cigarette, puis recrachée. Le geste du fumeur est conservé.

2. Sécurité (relative ?)

Même si le marché est encore émergent, le matériel et les liquides sont relativement surs. En dehors des risques de fuite, les cigarettes électroniques sont plutot bien concues. En France, la vente de liquide nicotinés est interdite aux dosages supérieurs à 20mg/ml.
La question de la qualité des liquides chinois (principal fournisseur du marché) reste en suspens, même si on attend toujours une production européenne à prix raisonnable.
Le dosage de nicotine est généralement conforme à l’étiquetage.

3. Dose de nicotine
La cigarette électronique contient souvent plus de nicotine qu’une cigarette tabac. Mais la quantité inhalée reste inconnue, même si on sait qu’elle n’est que partielle.
Les dosages sont variés, de 0 à 20 mg (jusqu’à 36mg à l’étranger) et permettent à chacun d’adapter sa consommation.
Attention, si vous êtes « gros » fumeur (quantité et force des cigarettes tabac), ne commencez pas trop bas en dosage, sous peine de vous retrouver en manque rapidement.

4. Fabricants et vendeurs

Les cigarettes électroniques sont vendues sur le marché mondial. Elles sont principalement fabriquées en Chine, et s’achètent facilement sur Internet.
Inventée en Chine par Ruyan (on dit qu’ils auraient volé l’idée à un inventeur japonais), elles sont vendues aujourd’hui par des marques américaines, européennes et chinoises.
Certains états ou pays, comme la Belgique, interdisent la vente de liquide nicotine, ce qui complique la tâche aux amateurs.

5. Interdit aux enfants
Beaucoup de saveurs sucrées ou fruitées sont proposées pour la cigarette électronique. Attention cependant que les liquides contiennent de la nicotine qui reste un toxique, particulièrement dangereux chez l’enfant.
Les stars (dont Johnny Depp dans « Le Touriste » et Katherine Heigl), dans leur souci de promouvoir leur nouvelle habitude, oublient souvent de le rappeller.

6. Attention au coût complet
Les packs de démarrage coutent 30 à 100 euros, et les liquides 6 euros les 10 ml en France. Mais certains accessoires (optionnels) peuvent vite faire monter la facture, et un « vapeur » enragé peut consommer les 10 ml dans la journée.

7. Bricolo bricolette
Contrairement à la cigarette tabac, jetable par définition, les cigarettes électroniques sont rechargeables en courant et en liquide. Pour la plupart des modèles, vous aurez besoin d’entretenir le matériel. Un simple nettoyage régulier suffit pour les modèles simples, les plus complexes demandent un peu d’équipement pour changer les mèches ou les résistances.

8. Le flou légal et sanitaire
En se heurtant à deux des plus gros lobbys, le tabac et l’industrie pharmaceutique, la cigarette électronique ne se fait pas que des amis. Beaucoup de voix discordantes sont publiées dans les médias, souvent sans fondement scientifique.
Par exemple, l’inhalation de propylène glycol est souvent pointée du doigt. Mais c’est le même liquide qui est utilisé dans les machines à fumée pour les spectacles, justement grâce à son inocuité. En revanche, le risque potentiel des mèches en fibre de verre est rarement évoqué, peut être parce qu’il mettrait à mal la réputation des laines minérales du bâtiment.

9. Vapoter en public
L’interdiction de fumer en public ne s’applique théoriquement à la cigarette électronique, qui ne contient pas de tabac. Certains lieux restreignent cependant la vapote.
L’Australie, le Canada, Isral, Dubaï et Mexico interdisent les cigarettes électroniques.
Certaines compagnies aériennes les interdisent à bord, pour ne pas « tenter » les consommateurs de tabac.

10. Vapeur passive ?
Il n’y a pas de tabagisme passif avec la cigarette électronique, mais il y a bien de la vapeur rejetée. En l’absence d’étude de fond sur le sujet, les premiers tests montrent que l’atmosphère autour des vapoteurs est sans commune mesure avec l’air enfumé de tabac : pas de COV, pas ou très peu de formaldéhyde, très peu de nicotine.

La cigarette électronique, c’est la classe

Pourquoi passer à la cigarette électronique ?

Pas de goudron, pas de cancérigène

La cigarette électronique ne contient pas de goudrons ni de toxiques, ne libère pas de monoxyde de carbone, comme la cigarette classique. Les cigarettes de tabac ont plusieurs milliers de substances toxiques qui se libèrent à la combustion. La cigarette électronique ne contient que 3 ou 4 substances non toxiques, qui sont vaporisées sans risque pour votre santé.

Diminuer la consommation de cigarettes

La cigarette électronique n’a pas de « début » ou de « fin » comme une cigarette classique. Passées les premières semaines où on a tendance à tirer sur l’électronique toute la journée, on apprend à doser, et à tirer quelques bouffées quand l’envie survient.

Economie

Souvent l’argument principal pour arrêter le tabac et passer à l’électronique.
Un paquet de cigarettes coute aujourd’hui (janvier 2013) entre 6 et 7 euros.
Le kit de démarrage en électronique coute entre 50 et 100 euros, le prix de 10-15 paquest. Une fois ce kit acheté, les flacons coûtent 6 euros en boutique, et 1 euros en DIY. Un flacon dure entre 2 et 6 jours selon votre consommation.

Pas de tabagisme passif

Les premières études ont montré que la cigarette électronique ne relarguait aucun composé toxique, et qu’une dose minime et non toxique de nicotine. Votre entourage ne souffrira plus de votre habitude.

Pas de fumée et pas d’odeur

La « fumée » des cigarettes électroniques est en fait de la vapeur. Elle disparait au bout de quelques secondes et n’imprègne pas les vêtements ni le linge de maison. Il n’y a plus d’odeur de tabac froid. Les nez aiguisés dans votre entourage ne pourront détecter qu’un peu l’arôme (fruité, gourmand ou tabac) de votre liquide, s’ils sont juste à coté de vous.

La liberté !

Même si certaines compagnies aériennes, et quelques lieux publics, ont choisi d’interdire la cigarette électronique, vous pourrez l’utiliser quasiment partout. En particulier dans les bars, les restaurants, les cinémas En matière de lieu impossible, personne ne pourra battre ce sous marinier américain qui a pu (dans son dernier départ en mer) piloter un sous marin classe Ohio en vapotant au nez de son capitaine !

La santé !

Même si l’AFM (ancienne AFSSAPS) refuse de donner le bénéfice du sevrage tabagique à la cigarette électronique, tous ses utilisateurs réalisent vite les avantages pour la santé de passer à l’électronique. Le souffle revient, la peau est plus belle, la forme et le moral sont améliorés.
Attention, certains utilisateurs réagissent mal (fatigue et gêne respiratoire) au propylène glycol, ce qui peut disparaitre en quelques semaines, ou bien forcer le passage à un mélange majoritaire en glycérine végétale.

Pas de flamme, pas de cendrier, pas de marque de cigarette

Vos enfants seront ravis d’apprendre qu’ils ne pourront plus ramasser (et grignoter) les mégots du jardin, jouer avec les cendriers, ou apprendre les joies de la pyromanie avec vos briquets qui traînent.

La classe

Soyons honnêtes, si Humphrey Bogart reste une icone du style, même Johnny Depp et Johnny Halliday se sont mis à l’électronique. Ca brille, on peut choisir ses couleurs, trouver des mods en bois ou en forme de pipe.

Pourquoi arrêter de fumer ?

Je veux être en bonne santé ; je n’aime pas l’odeur de mes vêtements ; ma femme, mon mari, mes enfants, mon chat, mon chien veulent que j’arrête ; cela est de moins en moins bien accepté socialement ; le coût est prohibitif… et la liste continue. Ce sont quelques unes des raisons que les gens avancent quand ils disent qu’ils veulent arrêter de fumer et certains le pensent vraiment mais la plupart doivent encore trouver la raison qui les motivera enfin a arrêter une bonne fois pour toutes.

Saviez-vous que le Conseil Américain des Sciences et de la Santé, l’Institut National de la Santé et l’Association Américaine contre le Cancer à eux seuls détiennent assez d’informations susceptibles de montrer à quiconque que fumer est une folie ? Et il existe des tonnes d’informations sur les dangers et les raisons pour ne plus jamais fumer ou ne jamais commencer. Cependant non seulement les gens continuent mais ils commencent même en connaissant la plupart des risques. Par conséquent les risques pour la santé ne semblent pas vraiment être des arguments suffisants pour que les gens arrêtent. Alors quoi d’autre ?

Le coût de cette dépendance devient exorbitant pour certaines personnes. Mais là encore, quand quelqu’un a une habitude délétère, le prix importe peu, il trouvera toujours le moyen de justifier l’argent qu’il y consacre car il ne peut tout simplement pas s’en passer. Pensez seulement à tout l’argent que les gens dépensent en alcool, en drogues, ou en choses absolument inutiles tout cela parce qu’ils sont acheteurs compulsifs.

Par conséquent le prix ne sera probablement pas l’argument dissuasif pour rompre avec l’habitude de fumer. D’ailleurs si vous remettez en question ce terme « habitude », faites des recherches. C’est plus une habitude qu’une dépendance physique. Autrement comment expliquer que tant de personnes décident tout simplement d’arrêter et le font sans ressentir de manque physique ou le besoin de suivre un programme de sevrage tabagique ? Et des gens arrêtent tous les jours de fumer sans aucun problème ou douleur physique. Cela peut paraître étonnant mais c’est la réalité.

OK, disons que la raison majeure est que les gens ayant le souhait d’arrêter n’ont pas encore trouvé la méthode qui marche pour eux ou qu’ils doivent encore trouver un moyen de remplacer ce que la cigarette leur donne en terme de plaisir, de réduction du stress (bien que fumer stresse le corps dans son ensemble) ou d’une quelconque satisfaction. Jetons un coup d’œil sur quelques méthodes utilisées par des ex-fumeurs et il en existe plus que vous ne pourriez le croire.

Il y a l’acupuncture, la méditation, l’hypnose, les médicaments en vente libre, ceux prescrits par un médecin, les substituts à la nicotine comme les gommes, les patchs, les sucettes (vous imaginez ?), les pastilles et les blagues en contenant, les compléments à base de plantes et la bonne vieille méthode de l’arrêt brutal sans substitut. Il y en a d’autres encore mais on doit se demander si le marché de l’arrêt du tabac rapporte tant d’argent s’il se pourrait que non seulement l’industrie du tabac veut que vous fumiez mais que les fabricants de produits de sevrage tabagique le souhaitent également. Saviez-vous qu’une personne essaie d’arrêter en moyenne 11 fois avant d’y parvenir ? Cela représente beaucoup de clients récurrents pour les produits de sevrage tabagique. Pendant ce temps, l’industrie du tabac vend des cigarettes aux gens qui essaient d’arrêter mais ne le font pas.

En conclusion, la première chose à faire est de prendre la décision d’arrêter de fumer (ou mieux de ne jamais commencer) et de trouver la méthode qui marche pour vous. Et si vous ne réussissez pas, essayez, essayez encore. Vous pouvez y arriver !!

Astuces pour vous aider à arrêter de fumer

Essayer d’arrêter de fumer peut être vraiment éprouvant. Il semble parfois que si vous arrêtez de fumer, vous allez délaisser votre meilleur ami. Vous savez que c’est mauvais pour vous, vous savez que vous devez arrêter mais cela semble juste trop difficile.

Pourtant, vous pouvez le faire. Pensez à votre famille et servez-vous en pour vous motiver. Ou réfléchissez au fait que fumer augmente de façon importante vos risques de cancer de toutes sortes, d’infarctus, d’accident vasculaire cérébral et d’hypertension artérielle. Oui, vous savez déjà tout cela mais vous continuez à penser que cela ne peut pas vous arriver à vous et de plus, vous êtes parvenu à vous convaincre que vous aimez fumer, même avec cette sensation occasionnelle d’oppression dans la poitrine.

Vous pouvez arrêter de fumer et voici quelques astuces pour vous aider à commencer aujourd’hui ! :

  • Jetez toutes les cigarettes qu’il vous reste. Les avoir sous les yeux rendra votre tentative d’arrêter beaucoup plus difficile.
  • Essayez d’avoir recours à des gommes à mâcher ou à des bonbons chaque fois que vous ressentez le besoin de fumer. Si cela ne marche pas, vous pouvez utiliser les produits médicaux comme les gommes ou les patchs à la nicotine pour vous aider à arrêter.
  • Quand vous ressentez le besoin de fumer, prenez de grandes respirations pendant environ 3 à 4 minutes (n’hyperventilez-pas, respirez simplement doucement)
  • Tenez un journal sur votre tentative de rupture avec le tabac. En le relisant, cela vous motivera à continuer, surtout si vous voyez à quel point vous y avez travaillé dur.
  • Quand vous pensez que vous désirez fumer, allez marcher pendant dix minutes. Pensez à vos efforts pour essayer d’arrêter, à ce que vous avez accompli. Pensez à vos enfants, à votre épouse ou à toute autre raison qui vous motive à arrêter.
  • Souvent, fumer vous manque davantage parce que vous ne savez pas quoi faire de vos mains. C’est psychologique. Essayez d’avoir une occupation manuelle quand vous tentez d’arrêter, comme du crochet, l’apprentissage de la guitare ou du dessin.
  • Prenez contact avec un groupe de soutien. C’est une épreuve qui peut être difficile et parler avec des gens qui la traverse aussi ou qui l’ont traversée peut faciliter la tâche. C’est appréciable de confier votre ressenti à quelqu’un qui comprendra exactement ce que vous voulez dire.

Une des choses à garder à l’esprit est que vous pouvez envisager toutes les bonnes raisons d’arrêter, y compris le fait que vos cheveux et vos vêtements sentiront le tabac longtemps après que vous aurez terminé cette cigarette. Vous pouvez vous dire que vous le faites pour d’autres personnes mais la tentative aura plus de chance d’être couronnée de succès si vous le faites pour VOUS. C’est cela, faites-le pour vous-même, pour votre santé, pour réduire vos dépenses, pour toutes ces raisons. Si vous le faites pour VOUS au lieu de le faire entièrement pour quelqu’un d’autre, les chances de vous y tenir sont beaucoup plus grandes, car vous vous serez responsabilisé.

Vous serez si heureux quand vous aurez réussi à arrêter. La sensation d’accomplissement est quelque chose qui ne vous quittera jamais. Vous serez en meilleure santé, plus heureux et fier. Commencez aujourd’hui et bonne chance. Vous pouvez le faire !

Arrêter de fumer avec les patchs et les gommes

Si vous essayez d’arrêter de fumer, il y a des méthodes ayant fait leurs preuves qui rendent le défi d’une vie sans fumée beaucoup plus facile à réaliser. Il y a quelques décennies, le seul programme existant était celui qui consistait à arrêter net en subissant l’état de manque… et en recevant très peu de soutien.

Aujourd’hui, la prise de conscience des problèmes de santé liés à la cigarette ainsi que le retournement de la société dans son ensemble concernant l’acceptation de la cigarette ont permis à d’autres méthodes pour arrêter de fumer de voir le jour. L’arrêt sans substitut ne fait plus recette.

Nombreux sont ceux qui se tournent vers des méthodes qui semblent simples et faciles. Le patch à la nicotine est une option que de nombreuses personnes utilisent et certains optent pour les gommes ou les pastilles à la nicotine. Ces programmes sont très différents et les individus qui choisissent l’une ou l’autre de ces méthodes obtiennent des résultats variés. Regardons-les de plus près et voyons si l’une d’entre elles vous convient.

Arrêter de fumer avec le patch à la nicotine

Le patch à la nicotine est une des méthodes les plus populaires pour arrêter de fumer. Souvent appelé « le patch pour arrêter de fumer », son utilisation implique la pose d’une série de patchs adhésifs contenant de la nicotine sur la partie supérieure du corps pendant la phase initiale de l’arrêt de la cigarette.

Ces patchs libèrent une dose de nicotine à travers la peau de façon à rompre les liens de dépendance psychologique avec moins d’envies compulsives de fumer, tout en permettant un sevrage progressif par l’utilisation de patches de moins en moins dosés en nicotine.

Si vous tentez d’arrêter de fumer, cela peut être un bon choix qui présente un taux élevé de réussite. Les programmes de patchs à la nicotine pour arrêter de fumer sont bon marché, coûtant le même prix voire moins que votre dépendance au tabac et ils sont facilement accessibles à tous puisqu’en vente libre dans les pharmacies.

Cependant, certaines personnes sensibles peuvent faire des réactions aux patchs sous forme d’éruptions cutanées alors que d’autres se plaignent de périodes d’insomnie ou de rêves prégnants perturbant leur sommeil. Ces effets sont néanmoins de courte durée et cessent avec l’arrêt des patchs.

Arrêter de fumer avec les gommes à la nicotine

La gomme à la nicotine est un autre support à l’arrêt du tabac que certaines personnes utilisent contre la compulsion de fumer. C’est une simple gomme à mâcher contenant une dose de nicotine. Lorsque le besoin de fumer survient, la personne peut mâcher une gomme libérant de la nicotine. Des pastilles en contenant sont également disponibles.

Bien qu’utiles, les gommes ou les pastilles à la nicotine ne sont souvent pas efficaces à elles seules et n’aident que rarement les gros fumeurs qui ont des besoins plus importants. En effet, l’apport de nicotine n’est pas continu ou constant, comme avec le patch.

Une utilisation prolongée peut engendrer une dépendance aux gommes se substituant au tabac sans qu’aucune aide psychologique ne soit disponible pour l’usager qui mâche des gommes quand le besoin s’en fait sentir.

Attention ! Si une personne utilise un patch pour arrêter de fumer, elle ne peut pas prendre de gommes ou de pastilles à la nicotine. Ces deux produits utilisés ensemble entraînent une overdose de nicotine qui peut rendre la personne très malade.

Si vous voulez vraiment arrêter de fumer, il existe différentes méthodes qui vont du traitement au laser à la simple gomme à mâcher.

Pour avoir accès aux dernières informations sur le sujet, consultez un thérapeute ou des sites sérieux sur internet.

Arrêter de fumer sans prise de poids

Vous envisagez peut-être arrêter de fumer mais craignez que cela n’entraîne une prise de poids. En fait, même si vous prenez effectivement quelques kilos en arrêtant de fumer, les bénéfices pour votre santé qui résulteront du sevrage pèseront plus lourd que les quelques kilos que vous prendrez peut-être.

Plusieurs raisons expliquent pourquoi on peut avoir tendance à prendre du poids lorsqu’on arrête de fumer :

  • Malheureusement, la nicotine est un coupe-faim. Des recherches montrent que puisque la nicotine est un stimulant, elle interfère avec la libération de l’insuline dans le corps, laquelle contrôle le taux de glucose dans le sang et envoie les messages de faim au cerveau. A cause de l’interférence de la nicotine sur la libération de l’insuline, le corps enregistre une diminution des signaux de faim. En raison de la baisse de l’appétit, la consommation de nourriture est généralement moins importante.
  • Des recherches semblent également indiquer que la nicotine augmente le métabolisme et le maintient à ce niveau plus élevé, ce qui signifie que plus de calories sont brûlées par les fumeurs que par les non-fumeurs, pour la même quantité de nourriture avalée.
  • Quand on fume, on brûle des calories, entre 150 et 300 par jour d’après les recherches.

Quand vous arrêtez de fumer, vous perdez ces « avantages minceur ». Par conséquent, si vous mangez comme avant et maintenez le même niveau d’activité, vous prendrez du poids. Vous aurez peut-être tendance à rechercher un substitut à la cigarette que vous portiez sans arrêt à votre bouche. Ces substituts signifient plus de calories. Cependant, l’horizon n’est pas aussi sombre qu’il paraît. Oui vous mangerez peut-être plus, mais parce que vous venez d’abandonner une habitude malsaine, il se peut que cela vous encourage à manger plus sainement. Ne vous goinfrez pas de chips ou de barres chocolatées. Essayez des légumes croquants assaisonnés d’une sauce, des fruits ou une barre de céréales. De cette façon, vous satisferez l’envie de mettre quelque chose dans votre bouche sans une augmentation trop importante des calories.

Vous réaliserez également assez rapidement que vous vous sentez mieux et avez plus d’énergie. Profitez de ces bonnes impressions et rejoignez un club de gym (par exemple, utilisez l’argent des cigarettes que vous n’achetez plus), commencez un nouveau sport ou allez tout simplement marcher en plein air. Vous boosterez ainsi sainement votre métabolisme.

En conclusion, même si vous grossissez effectivement un peu, vous serez en meilleure santé avec ce surpoids qu’en étant un(e) fumeur(se) mince. Et prendre quelques kilos ne signifie certainement pas que vous ne pourrez pas les perdre. La même volonté colossale que vous mettez à vaincre la cigarette pourra servir dans quelques temps à perdre du poids. Vous mettrez de l’ordre dans votre façon de vivre après avoir arrêter de fumer et atteindre ou maintenir un poids qui vous satisfait fait partie de cet ajustement.

Votre enfant fume en cachette ? Comment l’aider à arrêter

Fumer est une habitude dont beaucoup d’adultes ont du mal à se débarrasser. Imaginez la difficulté pour un enfant ou un adolescent ! Bien que les enfants soient prévenus très tôt des conséquences négatives du tabac sur la santé, la triste vérité est que beaucoup d’enfants et d’ados continuent à s’emparer d’un paquet de cigarettes et fument. Nombreux sont ceux qui le font en cachette de leurs familles de façon à ne pas avoir d’ennuis.

Si vous soupçonnez votre enfant de fumer en cachette, il est très important de le confronter immédiatement afin de l’aider à arrêter. Vous serez alors en mesure de lui apporter l’aide dont il aura besoin pour réussir à rompre avec cette habitude.

SOS – Signes de tabagisme

Il peut être difficile de déterminer si votre enfant fume ou pas, surtout s’il essaie de vous le cacher. Cependant, il y a plusieurs signaux d’alarme qui rendent cette possibilité vraisemblable. Si les vêtements de votre enfant ou ses cheveux sentent le tabac, c’est une indication manifeste. De plus, son haleine et l’apparence de ses dents peuvent en être une autre. D’autres signes qu’il fume peuvent être moins évidents. Si d’anciens sportifs sont maintenant rapidement essoufflés, s’ils toussent ou ont mal à la gorge de façon persistante, ce sont des signes qu’ils fument en cachette. Une fois que vous êtes sûr que votre enfant fume, vous devez le confronter dès que possible.

Une main tendue pour l’aider à arrêter de fumer

Il est très difficile pour quiconque d’arrêter de fumer, mais les enfants et les adolescents peuvent passer tout particulièrement par des moments pénibles. Il est important, en tant que parent, que vous leur apportiez toute l’aide dont ils ont besoin pour arrêter. Vous pouvez les aider en fixant avec eux des buts et des limites. Choisissez la date de leur arrêt et responsabilisez-les par rapport à cela. Ensemble faites une liste des raisons qui les poussent à arrêter et rappelez-la leur chaque fois qu’ils traversent une période difficile. De nombreux effets secondaires peuvent se produire quand on arrête de fumer. Ce sont tous les symptômes du manque. La prise de poids, l’irritabilité, la faim, les maux de tête et une toux plus importante sont des évènements se produisant souvent. Les produits de substitution à la nicotine peuvent aider. Cependant avant d’en donner à votre enfant, vous devrez consulter son médecin traitant.

Un accomplissement majeur : arrêter la cigarette

Si votre enfant parvient à arrêter de fumer, ce sera un accomplissement majeur dont il devra être fier. Alors que votre première réaction en découvrant que votre enfant fume pourrait être la colère et la volonté de le punir, vous devriez réfléchir à ce qui est le mieux pour lui. C’est de votre amour et de votre aide inconditionnels dont il a vraiment besoin.

Comment ne pas prendre de poids ?

La perte de poids ou sa stabilisation est une des raisons majeures pour lesquelles les gens, et tout particulièrement les femmes, se mettent à fumer. La prise de poids est l’une des causes importantes d’échec du sevrage tabagique et de la reprise de la cigarette. Voici quelques astuces et suggestions qui vous tiendront à l’écart de la cigarette sans prise de poids.

La nourriture et le tabac semblent aller de pair. La cigarette qui suit un bon repas est souvent la plus difficile à abandonner, juste après la première du matin. Vous préoccuper de la nourriture en tant que déclencheur de l’envie de fumer est donc la première chose à faire. Si cela vous concerne, prenez-en conscience et trouvez des moyens pour y échapper. Essayer de manger plus lentement, de mâcher votre nourriture plus longtemps que vous ne le faites d’ordinaire afin de satisfaire le plaisir obsessionnel d’avoir quelque chose en bouche. Cela est également un bon moyen pour ne pas grossir. Essayez d’avoir un grand verre d’eau prêt à siroter après le repas, cela vous donnera une occupation. L’alcool et le tabac semblent aussi aller de pair ; par conséquent supprimez les verres avant pendant et après les repas et optez pour l’eau ou les boissons « basses calories ». Cela vous aidera aussi à maîtriser votre poids car certains alcools sont riches en hydrates de carbone, notamment la bière.

Une autre façon de ne pas grossir et de lutter contre le désir ardent de fumer après un repas est de faire de l’exercice. Si vous ressentez l’envie de fumer après dîner, allez plutôt faire une longue ballade à pied. S’il fait mauvais temps, prenez un abonnement dans un club de gym et faites de l’exercice, nagez s’il y a une piscine ou faites du cardio training. Vous pourriez même vous rendre à un centre commercial et en faire plusieurs fois le tour. L’exercice ne vous permettra pas seulement de maîtriser votre poids, il aidera aussi vos poumons à récupérer plus rapidement et améliorera votre santé dans sa globalité.

Pendant la journée, on peut aisément et fréquemment avoir recours au grignotage lorsqu’on essaie de rompre avec la dépendance de la cigarette. Ce n’est pas une mauvaise chose en soi si vous la planifiez à l’avance. Essayez de penser à des en-cas sains que vous pourrez dévorer lorsque vous serez assailli par une envie de fumer. Cela pourrait être des carottes, du céleri, des noix, des morceaux de fruits frais comme les pommes ou les oranges. Vous éviterez les chips et les bonbons. Certains parmi ces derniers ne sont pas trop mauvais, par exemple les gommes à mâcher ou les bonbons durs sans sucre. Ils peuvent tous les deux satisfaire votre envie forte d’avoir quelque chose dans la bouche et avec beaucoup moins de calories que les chocolats ou les confiseries contenant du sucre. Evitez aussi les petits gâteaux et les biscuits salés.

Il peut être difficile de stabiliser son poids lorsqu’on essaie de rompre avec l’habitude de fumer mais si vous suivez certaines de ces astuces et suggestions, votre prise de poids pourrait être minime et vous pourriez même en perdre! Bien entendu, conserver ces nouvelles habitudes saines ne peut que vous être bénéfique sur le long terme.

Les techniques pour arrêter de fumer

Vous savez que vous ne vous rendez pas service en continuant à fumer ; cependant, malgré vos meilleures intentions, allumer une cigarette est la première chose que vous faites chaque jour. Si vous vous demandez « serai-je un jour capable d’arrêter », prenez ce qui suit en considération. La nicotine contenue dans la cigarette crée une accoutumance et comme avec chaque dépendance, s’en libérer entraîne des symptômes de manque, que vous pouvez surmonter.

Arrêter brutalement la cigarette

Il y a de multiples façons d’arrêter de fumer. Il y a celle qui consiste à décider d’arrêter purement et simplement. Vous balancez vos cigarettes et arrêtez net. Cette méthode séduit de nombreuses personnes qui semblent ainsi venir à bout facilement de leur dépendance. Des symptômes de manque apparaissent mais tant que leur esprit reste concentré sur le désir d’arrêter, ils réussissent.

Diminuer progressivement le tabac

La diminution progressive est aussi une méthode, qui consiste à décider d’un laps de temps durant lequel vous fumez moins que vous l’avez fait par le passé. Une fois cette période terminée, vous poursuivez de la même façon selon des paliers de temps successifs jusqu’à ce que vous arriviez à zéro cigarette.

A première vue, cette méthode de diminution progressive peut sembler la façon la plus facile d’arrêter mais elle peut être plus difficile qu’elle parait. Des études ont montré que les personnes qui diminuent finissent souvent par recommencer à fumer autant qu’avant leur tentative d’arrêt.

Les substituts nicotiniques

Une autre façon d’arrêter de fumer plus facilement consiste à utiliser les différentes aides – ou substituts de nicotine – visant à compenser le manque que cette substance entraîne au fur et à mesure que le nombre de cigarettes est réduit. Les substituts de nicotine les plus courants se trouvent sous forme de gommes à mâcher ou de patchs à appliquer sur la peau qui laissent passer de petites doses de nicotine dans le sang.

Plus récemment, un autre substitut est apparu sur le marché sous forme de cachets visant à bloquer les récepteurs cérébraux, diminuant ainsi le besoin de nicotine. Ces cachets peuvent avoir des effets secondaires mais il semble qu’ils aident vraiment les fumeurs à arrêter.

Choisir une méthode et persévérer

Alors, quelles mesures pouvez-vous prendre pour rendre l’arrêt de la cigarette plus facile ? Inscrivez dans un journal les activités, évènements ou stress qui provoquent chez vous l’envie d’une cigarette. Par exemple, quand vous éprouvez une envie irrépressible de fumer, notez les pensées qui vous absorbaient alors et qui ont conduit au besoin de cigarette. Ainsi, prenez l’habitude d’être attentif à ce qui semble déclencher ce comportement.

Une fois que vous avez choisi une méthode pour arrêter de fumer, que ce soit l’arrêt du jour au lendemain, la diminution progressive ou une aide de substitution, tenez un autre journal dans lequel vous décrirez les résultats. Y a-t-il amélioration ou aggravation des symptômes ou envies ?

Si vous optez pour une aide de substitution, consignez par écrit ce que vous prenez et à quel moment. Les envies de fumer sont elles moindres ? Y a-t-il des effets secondaires ? Notez quand ils apparaissent et leur gravité. En conservant ces informations à portée de main, cela vous donnera une vision objective de l’apport de cette aide dans vos efforts pour arrêter de fumer.

Mettre en place des journaux comme ceux décrits ici est chose aisée. Vous pouvez utiliser une feuille de papier, le traitement de texte d’un ordinateur ou même un tableur comme Excel.

Vous vous devez d’être l’acteur de votre propre santé. Le tabac ne lui est pas seulement préjudiciable. Il peut vous tuer de tant de façons différentes qu’il est devenu l’un des plus grands poisons de tous les temps. Avec une approche adéquate, il peut être maîtrisé et écarté mais vous devez utiliser chaque outil disponible pour que votre tentative soit couronnée de succès.

Le tabac et la chirurgie ne font pas bon ménage

Vous êtes fumeur et l’on prévoit de vous opérer prochainement ? Peu importe le type d’opération que vous allez subir, votre santé en pâtira si vous décidez de fumer plusieurs semaines avant ou après l’opération. Aussi difficile que cela soit-il, si vous allez être opéré, vous devriez sérieusement envisager l’arrêt du tabac pour votre santé.

Tabac et chirurgie : ce qui peut mal tourner

Il y a un certain nombre de complications, de dangers et d’infections potentielles qui peuvent apparaître si on fume avant ou après une opération chirurgicale. Qu’est-ce qui peut mal se passer exactement ? Voici un résumé des complications les plus fréquentes et graves qui peuvent résulter d’une consommation de tabac avant et après une opération chirurgicale :

  • Plaie infectée : Une des complications qui se produit le plus couramment est l’infection d’une plaie. En effet, le fait de fumer dérobe l’oxygène des cellules en voie de guérison. Fumer est un facteur de risque de plaie infectée dans presque toutes les opérations chirurgicales. Des chercheurs ont découvert que les personnes qui continuent à fumer avant une opération ont un risque beaucoup plus élevé de voir apparaître des plaies ne cicatrisant pas correctement.
  • Complications cardio-pulmonaires : La fumée de tabac est très nocive pour le cœur, les poumons et le système immunitaire tout entier. S’il est prévu que vous subissiez une quelconque opération du cœur, il est impératif que vous arrêtiez de fumer au moins six semaines avant qu’elle n’ait lieu.
  • Vasoconstriction : La vasoconstriction fait référence au rétrécissement des petits vaisseaux sanguins. De nombreux gros fumeurs peuvent souffrir de vasoconstriction parce que le fait de fumer vole l’oxygène cellulaire disponible. Quand cela arrive, les petits vaisseaux sanguins rétrécissent. Le fait de fumer interfère aussi avec d’autres substances chimiques qui permettent au corps de libérer suffisamment d’oxygène aux cellules.
  • Les complications post-chirurgicales sont plus importantes pour les fumeurs. Des scientifiques de l’hôpital universitaire de Bispebjerg au Danemark ont découvert que les patients qui avaient arrêté de fumer avant l’opération étaient beaucoup moins susceptibles de développer des complications post-chirurgicales. Les chercheurs ont remarqué qu’en moyenne les patients qui arrêtaient de fumer avant une opération restaient hospitalisés deux jours de moins par rapport à ceux qui avaient continué à fumer.

Souvenez-vous : vous devriez vous efforcer d’arriver le jour de l’opération avec un corps le plus en forme possible. Le trauma chirurgical est une épreuve pour votre corps. Le fait de fumer ne fera de rendre sa guérison plus difficile. Dans certains cas, des chirurgiens peuvent même faire le choix de ne soigner un patient s’il fume.

Cesser de fumer en vue d’une opération

Si vous fumez, la meilleure chose à faire avant une opération pour aider votre corps à s’y préparer est d’arrêter complètement où au moins de réduire sérieusement le nombre de cigarettes que vous fumez chaque jour. Une étude récente conseille aux fumeurs d’arrêter le tabac au moins six à huit semaines avant l’opération. Malheureusement, la plupart des produits de substitution normalement proposés aux fumeurs ne sont pas recommandés à ceux qui vont subir une opération. Les gommes et les patchs à la nicotine ne leur sont pas conseillés. La nicotine des gommes se comporte de la même façon que celle contenue dans la cigarette, entravant le processus de guérison de la même manière. Les patchs à la nicotine sont également dangereux parce que l’écoulement de la nicotine peut gêner celui du sang.

De nombreux hôpitaux proposent des programmes de sevrage tabagique pour aider les patients devant subir une opération à arrêter avant le jour j. Voici quelques unes des règles générales à suivre sur l’arrêt du tabac avant une opération :

  • Arrêter immédiatement. Si votre opération est imminente, vous n’avez pas le temps de vous déshabituer progressivement du tabac. La plupart des médecins conseillent d’arrêter dès l’annonce de l’opération. Pour la majorité des gens, la crainte pour leur santé suffit pour qu’ils se débarrassent de leurs cigarettes.
  • Informez-vous sur votre opération. Prenez le temps d’en apprendre les tenants et aboutissants. Cela vous aidera à rester concentré sur votre santé et sur l’importance de conserver un corps en forme pour l’opération. Tout en n’ayant pas besoin d’aller dans les détails, familiarisez-vous avec l’intervention.
  • Entretenez-vous avec votre médecin à propos des aides que vous pouvez utiliser. Très souvent, les patients devant subir une opération n’ont pas la possibilité d’avoir recours aux aides telles que les gommes et patchs à la nicotine. Découvrez quels choix s’offrent à votre cas particulier.
  • Arrêtez à plusieurs. Trouvez quelqu’un pour arrêter avec vous. Prendre l’engagement d’arrêter avec quelqu’un d’autre vous aidera à rester concentré sur l’objectif « zéro cigarette ». De même, vous devriez vous évertuer à conserver un foyer non-fumeur pendant votre convalescence. Certains médecins conseillent à tous les fumeurs d’un même foyer d’arrêter ou de réduire significativement leur consommation de tabac durant la période de convalescence du patient.